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Dimanche 27 Juillet

 

Jour 13

Etape: Briançon / Soulier (Queyras)

Km:    24

D+:    1100m   

D- :    1300m

 

        

Départ assez tôt vers 8h30, je roule jusqu'à Briançon et je me pose dans un bar, un peu

pour déjeuner, mais surtout pour recharger les batteries de mes appareils, toutes vides,

téléphone, GPS, Go Pro. Je repars à 10 heures, comme prévu longue montée jusqu’au col des Ayes.

Une bonne partie se fait par une piste mais à partir des chalets des Ayes je prends le sentier, portage évidemment. Au bout d’une heure je retrouve la piste que j’aurais pu garder en fait.

Le final est très dur (portage bien sûr). Je m’arrête pour faire une pause cinématographique, mais je suis harcelé (depuis un moment) par une nuée de taons,  obligé de repartir sans filmer, dommage le paysage était magnifique avec des parterres de rhododendrons en fleurs partout.

Arrivée au sommet, un jeune avec sa mère tchatchent un peu avec moi, j’en profite pour me faire prendre en photo avec mon vélo au sommet du col, pour une fois il n’y aura pas que mon Vtt sur la photo. La descente se fait sans problème très belle et agréable, pas trop difficile, je suis rapidement en bas.

J’arrive à Arvieux, et j’en profite pour m’arrêter à l’Intersport on était allé avec Jean-Louis quand on avait fait le tour du Queyras au mois de juin. J’y achète des cartouches de gaz pour le gonflage de mes pneus, je vais enfin pouvoir repasser en tubeless.

Il est trop tôt pour m’arrêter au gîte « les bons enfants » à Brunissart,  et trop tard pour envisager d’aller jusqu’à Ceillac « aux baladins ». Je prends l’option intermédiaire je me décide à dormir au refuge le grand Rochebrune à Soulier, à quelques kilomètres à l’écart du GR5.

Le gîte est pas mal et confortable, vue magnifique de la terrasse du gîte. Je fais une petite révision de mon vélo, et on discute le coup avec des groupes de randonneurs, l’ambiance est agréable, il fait beau, belle soirée.

Nuit  correcte, mais comme d’hab, le bordel à partir de six heures du matin !

Les marcheurs ne peuvent pas s’empêcher de se lever comme les poules et ça me saoule, il me disent qu’on marche mieux le matin, bon… Sauf que de toutes façons il faut qu’il attendent le p’tit dèj qui est à 7h30, alors pourquoi emmerder le monde à partir de 6h00, voir 5h00 ou même 3h00 comme au refuge d’Anterne il y a quelques jours. Bon voilà j’ai piqué ma petite colère et je me marre quand je relis ces lignes en me disant que je devais être très énervé ce jour là ! Je fais quand même un petit coucou amical à mes amis marcheurs ;-)

 

Suite (14ème jour)

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